Vallée du Bens : refuge des Férices, depuis la cabane de Cohardin
Le lac des Férices était encore gelé !
Quatre participants : Thierry, Pierre, Geneviève, Daniel.
Après être montés en voiture rive gauche du Bens (Isère), depuis Saint-Hugon et traversée du pont Sarret, nous stationnons à 1245 m, à hauteur de la cabane forestière de Cohardin, en retraversant le Bens par un pont, donc sur le versant Savoie.
Le sentier balisé discrètement en jaune, mène au haut vallon du Bens, par sa rive droite; il passe par l'alpage de Pré Nouveau (30 minutes de marche ), avec un chalet fermé au public et une source à l'écart du sentier. A cette époque, l'alpage est envahi d'oseille sauvage et le sentier encore visible sinue entre les vernes couchées par les avalanches.
Ensuite, 1 h 30 de marche sur le sentier toujours balisé en jaune ; ce jour, nous trouvons des névés et restants des coulées d'avalanches, un peu au-dessus de Pré Nouveau. Ils sont parfois raides mais la neige porte bien. Et c'est un attrait supplémentaire à cette belle montée, lors de laquelle les vernes s'éclaircissent jusqu'à nous dévoiler le massif du pic du Frêne.
Après une ultime traversée de névé pentu, et ayant délaissé un sentier assez confidentiel, qui part sur la droite et mène au vallon de Bourbière, nous voilà au refuge des Férices (1920 m). Au total, 2 heures de marche.
Petite cabane en dur, ouverte au public, autrefois fréquentée par les bergers d'Arvillard, elle a bien supporté les ans mais reste très rustique ; il semble que les randonneurs qui la fréquentent respectent les lieux ; une source coule à proximité. La vue porte sur les Grands Miceaux, le massif du Frêne, le haut vallon du Bens , avec la pointe de Bourbière et le Grand Charnier. Un petit lac se découvre légèrement en contrebas, encore prisonnier des neiges ; et parmi les blocs d'éboulis, un abri -bivouac pour 2 à 3 personnes.
Après le casse-croûte, descente à Cohardin, en 1 heure 15 environ.
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Après être montés en voiture rive gauche du Bens (Isère), depuis Saint-Hugon et traversée du pont Sarret, nous stationnons à 1245 m, à hauteur de la cabane forestière de Cohardin, en retraversant le Bens par un pont, donc sur le versant Savoie.
Le sentier balisé discrètement en jaune, mène au haut vallon du Bens, par sa rive droite; il passe par l'alpage de Pré Nouveau (30 minutes de marche ), avec un chalet fermé au public et une source à l'écart du sentier. A cette époque, l'alpage est envahi d'oseille sauvage et le sentier encore visible sinue entre les vernes couchées par les avalanches.
Ensuite, 1 h 30 de marche sur le sentier toujours balisé en jaune ; ce jour, nous trouvons des névés et restants des coulées d'avalanches, un peu au-dessus de Pré Nouveau. Ils sont parfois raides mais la neige porte bien. Et c'est un attrait supplémentaire à cette belle montée, lors de laquelle les vernes s'éclaircissent jusqu'à nous dévoiler le massif du pic du Frêne.
Après une ultime traversée de névé pentu, et ayant délaissé un sentier assez confidentiel, qui part sur la droite et mène au vallon de Bourbière, nous voilà au refuge des Férices (1920 m). Au total, 2 heures de marche.
Petite cabane en dur, ouverte au public, autrefois fréquentée par les bergers d'Arvillard, elle a bien supporté les ans mais reste très rustique ; il semble que les randonneurs qui la fréquentent respectent les lieux ; une source coule à proximité. La vue porte sur les Grands Miceaux, le massif du Frêne, le haut vallon du Bens , avec la pointe de Bourbière et le Grand Charnier. Un petit lac se découvre légèrement en contrebas, encore prisonnier des neiges ; et parmi les blocs d'éboulis, un abri -bivouac pour 2 à 3 personnes.
Après le casse-croûte, descente à Cohardin, en 1 heure 15 environ.
Modifié par Daniel Dupuis le 30 mai 2014 à 16:44 GMT, posté par Geneviève Dupuis le 30 mai 2014 à 12:24 GMT, (populaire)